parce que j’en ai vu étant gamin,
parce que j’en ai revu dans des musées,
parce que j’ai rencontré des passionnés à un club stéréo,
parce qu’aussi ça ne pose pas de problème d’en réaliser en synthèse,
parce que la photo c’est beau (aussi)
parce que j’avais envie d’essayer 🙂
mon premier essai photographique en stéréoscopie,
également appelé photo relief ou photo 3D.
réalisé en prenant 2 photos, en déplacent latéralement à la main l’appareil entre les 2 prises.
Une prise de vue à la volée, sans support ni pied, la main à plat et le reste du corps (surtout les bras) pour effectuer le mouvement latérale, cela afin d’espacer les 2 prises de vue nécessaire d’approximativement la distance séparant les yeux, soit environ 7 cm.
Fallait oser le faire à la main comme ça et au jugé, ça c’est fait 😉
Pour rappel, et de façon grossière et rapide, la photo 3D stéréoscopique se réalise en prenant 2 clichés séparés horizontalement de la même distance que celle séparant les yeux humain, les objectifs de l’appareil prenant ainsi la vue de chaque oeil.
Le montage des 2 prises de vue sont à superposer et à décaler pour l’effet relief,
et à adapter selon la diffusion (côte/vertical/trame…),
le format présenté ici (bicolore) permet d’être regardé par le plus grand nombre, à l’aide de lunette anaglyphe (cyan/rouge)
Je rassure tout de suite les puristes ou pro, et inquiète les non-avertis, même si cet essai rapide peut donner un rendu plus ou moins satisfaisant pour un premier test à la volé, un vrai rendu stéréoscopique s’effectue avec plus de précision et de rigueur, l’importance certaine des points suivant est à prendre en compte (et à maîtriser), comme le positionnement, les angles de prise de vue, ou encore plus simplement l’art et la technique de la photographie classique.
photo © Christian Belala – Mai 2007
prise de vue avec mon Olympus C1 de l’époque
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